Le 301ème régiment des Chem Dogs de Salvar

Inspirations pour les tenues : https://fr.pinterest.com/gnwh40k/chem-dogs/

“Décrire un Chem Dogs comme un peu négligé revient à dire qu’Abaddon le Fléau est un peu grognon le matin au réveil.” – Inconnu

Les régiments des Chem Dogs de Salvar sont la représentation parfaite des régiments pénitenciers de l’Imperium. Composé de meurtriers, de voleurs, et bien pire encore, il n’y règne qu’un semblant de discipline, instillé avec brutalité par les officiers encadrant les recrues. Spécialisé dans les combats en milieux urbains et toxiques, les Chem Dogs sont des soldats résistant. N’ayant qu’un mépris profond pour leurs troupes, les officiers Chem Dogs n’hésitent pas à les sacrifier par milliers dans des assauts frontaux, transformant des boucheries en victoire.

Afin de maintenir la discipline et de palier au sous équipement du régiment, il fut instauré la règle qui permet aux Chem Dogs de récupérer ce qu’ils veulent sur les cadavres ennemis. Cela en fait un régiment à l’équipement hétéroclite et se traînant une réputation sulfureuse. En effet, il n’est pas rare que des vols soit commis dans les zones d’opération d’un régiment Chem Dogs. Le seul équipement fourni à profusion est un respirateur appelé “Inhalateur Nitro-Chimique”. Il est plus volumineux que les respirateurs impériaux standards, doté de quatres tuyaux, il est modifié pour véhiculer différents gaz. Gaz de combat plongeant le soldat dans une frénésie meurtrière ou gaz abrutissant afin de le rendre inoffensif.

Ces gaz rendent les escouades de Chem Dogs peu appréciées des autres régiments, de nombreux incidents ayant été rapportés, pillages, tirs amis. Malgré tout, les escouades de Chem Dogs sous gaz de combat ignorent leur blessures et font preuve d’une rage qui peut mettre à terre le plus puissants des adversaires.

Tout ceci fait qu’un soldat Chem Dogs perd très vite la mémoire, ne se souvenant que très peu de sa vie d’avant son intégration au régiment, ne voyant qu’une vie de combat défilant devant ses yeux. Seuls les officiers étant au courant des dossiers disciplinaires de ses soldats, les mettant le plus souvent de côté et préférant envoyer ses troupes sans retenue au combat.

Faire parti de ce régiment, c’est faire parti d’un univers fait de folie sanguinaire et de brutalité extrême. C’est faire parti d’une force employée en ultime recours afin de renverser une situation désespérée.